Comment avez vous entendu parler du forum : D'un ami qui est du forum
Personnage sur l'avatar:Hidan
Nom: //
Prénom: Hidan
Age: 35
Sexe: Mâle
Affinitée(s) choisie au debut : Disons Raiton... mais il a sa technique Personnelle :
-Kami no Sabaki (Le jugement de Dieu) : Technique appartenant sûrement au culte de Jashin, elle permet au utilisateur de créer une "connexion" entre lui-même et un ennemi. L'utilisateur commence alors à se mutiler ce qui inflige également les mêmes blessures au "relié". Seul inconvéniant c'est qu'il faut être dans un symbole de Jashin tracé sur le sol et boire le sang de l'ennemi. Hidan la maîtrise parfaitement et adore faire souffrire l'adversaire avec ce jutsu. (Technique Unique)
Description physique: Hidan est un homme grand, il a les cheveux gris et ne se soucit pas vraiment de son apparence, il a une Robe noire avec des nuages rouges, celle de l'Akatsuki. Il a un faux à trois lame, et s'en sert pour lecher le sang de ses adversaires, lui permetant alors de faire sa technique.À son cou, on retrouve un collier, argent en forme ronde représentant sa religion, il appartenait à son Maître. Il a aussi ton bandeau d'un village Peu connu.
Description mentale: Hidan est quelque peu fou, il ne vit que pour sa religion, le Jashinisme. Il est un TRÈS grand croyant, et ne laissera jamais quelqu'un se moquer de lui. Il suit les règles à la lettre, lorsqu'il commet une erreur, il se mutile pour prouver qu'il mérite d'être punnit, il en a pris du plaisir. Derriere ce corps mutiler, ce cache un esprit maléfique, et en a point honte.Il est colérique, vengeur, insultant mais parfois calme. Après ses meurtres, il prend 30 minutes pour prier, cela le protège des mauvais sacrifices. Son Nindô principale est : Tuer, détruire et massacrer au nom de Jashin !
Ninja ou Civil ? : Ninja
Village natal : Inconnu
Village souhaité: Akatsuki
Histoire:
Dès sa jeune enfance, Hidan avait des difficultés dans sa vie, à l’école et à la maison. À chaque matin, il pleur, sans aucune raison, simplement par le besoin qui l’entoure, un besoin que même un riche poète, dans ses phrase pleines d’émotion ne saurait expliquer, dans tous les mots que contient le dictionnaire, un seul peux nous dire 10% de la raison… C’est le mot « Rejet » vous l’aurai deviné, il n’était pas aimé… même sa mère ne l’aimait pas, elle était déçue d’avoir un fils comme lui. Hidan était en faite le fils d’un homme au cœur de pierre, un homme n’ayant point d’amis, point de famille. Il était démonique et ne se faisait respecter de personne. Jusqu’à ses six ans, Hidan se questionnait, jours et nuits pour enfin découvrir la raison de son rejet, il était un peu comme un enfant, qui développe des troubles mentales et qui se fait regarder différament, que les autres n’osent pas approcher, cependant il n’avait pas de maladies mentales, du moins pas encore.
À sept ans commença sa « vraie » vie, celle d’un ninja. Une mauvaise surprise l’attendait, non pas que ses senseis et collègues de classe ne le respectaient pas, mais bien qu’il n’avait aucun talent, il était sans avenir et souhaitait oublier son passé. Quel homme désespéré…Jamais quelqu’un ne souhaiterait être comme lui. Après les quelques jours d’écoles qu’il eut, il arrêta, après exactement deux semaines et trois jours. Il en avait déjà asser. Sa mère l’obligeait, pas des paroles calmes, servant à le calmer ou physiquement quand celui-ci refusait catégoriquement. Les années passèrent et jamais il n’avait réussit à utiliser une seule technique. Après environ six ans d’académie, ce qui faisait de lui le plus vieux étudiant, il commença à se mutiler, au profit d’une paix d’esprit, il en avait asser des moqueries des autres élèves, et des regards quelque peu croches que portait les sensei à son égard.
À chaque soir, à la table de la salle à manger, se trouvait Hidan, il avait des cernes sous les yeux, la peau pâle et les poignets en sangs, bref n’importe qui aurait crut voir un Zombie… Le mot vie n’avait plus aucun sens lorsque l’on voyait cet enfant, c’était effrayant, c’était comme si une peur nous envahissait, suivit d’une grande pitié, décidément il n’était pas un enfant gâté ! Un jour, sa mère l’emmena voir un psychologue, Hidan ne voulait rien savoir et n’osait même pas entrer dans son bureau. Après une lutte acharnée, il dit des choses si terrible que même le moins peureux sur terre en aurait la chair de poule… Décidément, cet enfant était comme son père… puissance 1000. Sa mère, qui voyait dans les yeux de son fils Satan lui-même ne le souhaitait plus dans sa vie, elle demanda des conseils à toute la population et certain de leurs idées était de le tuer, le torturer, le brûler… Une mère reste une mère pour la vie, et aucune mère n’aura jamais point de sentiments envers son enfant, qu’il soit différent ou simplement bizarre.
Durant une nuit de novembre, une des plus froides, ou même les ours aurait besoin d’une double épaisseur de fourrure pour survivre, la mère d’Hidan l’amena dans un village sous-terrain. Sur la grande porte d’environ deux fois leur grandeur, un signe supplice s’y trouvait, celui d’un cercle entourant un triangle perpendiculaire. C’était le signe du Jashinisme, celui des « Destructeurs de l’univers ». Un long corridor menait à une petite salle, semblable à celle utilisées pour prier. Là devant eux, se trouvait un homme de taille moyenne, aux cheveux grisâtres, portant au cou un collier argenté, sur lequel était étampé le même symbole que celui sur la porte, rencontré avant l’entrée dans cet endroit sombre et lugubre. L’homme se retourna et d’une voix grave dit :
-Qui à l’audace de me déranger durant ma prière du soir !
La femme, quelque peu éritée, lui répondit d’une voix douce et d’une fluiditée hors pair, elle savait quoi dire.
-Mon cher Tarochin, veillez me pardonner, mon fils vous ressemble, souhaitez vous lui apprendre les bases du Jashinisme, il n’a aucun talent et, n’est respecté de personne, je ne saurai savoir quoi en faire.
-Eh bien, tel est la prophétie qui m’a été révélée l’an passé, elle disait exactement ceci : Une femme, ne sachant quoi faire te rendra visite et te donnera en charge Satan lui-même… J’accepte de le prendre en charge, à une condition.
-Quelle est-elle ?
-Vous ne pourrai plus jamais prononcer son nom en public, et vous devrai le renier.
-J’accepte cette restriction, sans aucune hésitation.
-Eh bien j’ai devant moi quelqu’un de bien sans-cœur, peut-être votre fils vous a-t-il pris en model.
Dès la fin de cette phrase, la femme s’éloigna, bras croisé, signe de « je m’en foutisme ».
C’était le début de la vie d’Hidan, sa vraie vie suivant sa nature de personnalité. `
À suivre...
(Si vous en voulez plus, veillez m'en faire part)
Autres : Faux à trois lames, Technique personnelle.